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Gabriel Durliat

Presse

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Un grand pianiste et un formidable musicien à suivre”

Philippe Cassard

Philippe Cassard

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Tous ceux qui ont déjà fait l'expérience d'un concert avec Gabriel Durliat n'auront pas manqué d'être frappé par la conjonction d'une vision totale de la partition - le musicien n'est pas attiré par la direction d'orchestre par hasard ... - et d'un sens du détail particulièrement affuté. Cela avec un merveilleux sens poétique et sans le moindre flafla.

Alain Cochard

Alain Cochard

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C’est un artiste à suivre qui va faire une carrière absolument inouïe.

René Martin, La Provence

René Martin

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Il y a un Français, Gabriel Durliat, 23 ans, déjà venu l’an passé, qui me stupéfait. Il fait des transcriptions, est compositeur et suit des études de chef d’orchestre. C’est un artiste à suivre qui va faire une carrière absolument inouïe.

René Martin, La Provence

René Martin

Review

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L'obs

Feature

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Pianiste

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Concerto.net

Alors que les festivals deauvillais sont normalement consacrés à la musique de chambre, à la pratique collective comme on dit dans les conservatoires, le concert débute ainsi par un mini‑récital de piano d’une nouvelle tête, le très jeune Gabriel Durliat, à peine 22 ans. Le garçon fait preuve d’une maturité exceptionnelle. Il débute par une pièce rarement donnée et extraite du Tombeau de Claude Debussy (1920), participation de Paul Dukas (1865‑1935) à un hommage collectif rendu à l’initiative de la Revue musicale par dix compositeurs différents au grand compositeur mort en 1918. L’influence de Debussy saute naturellement aux oreilles mais à vrai dire autant que l’originalité et la modernité de l’écriture du Dukas, qui n’est décidément pas l’auteur d’une seule œuvre, L’Apprenti sorcier. L’interprète sait en faire ressortir le côté ineffable, l’ostinato inébranlable de la main gauche décrivant une sorte de glas traduisant une peine incommensurable.

Le Treizième Nocturne de Gabriel Fauré (1845‑1924) qui suit constitue presque un soulagement et permet de se raccrocher un peu à la vie. Gabriel Durliat y montre qu’il sait changer d’univers. Sa touche est d’une subtilité qui impressionne chez un artiste d’une telle jeunesse. Dans son arrangement de la dernière pièce du Requiem du même Fauré, il fait preuve enfin d’une distinction peu commune, laissant toute sa place au recueillement. C’est la révélation de la soirée et peut‑être du festival. Le directeur musical des festivals de musique de chambre de Deauville depuis bientôt trente ans, l’infatigable Yves Petit de Voize, a eu bien raison de présenter cet artiste, alors que son récital n’était pas envisagé lors du dévoilement du programme des concerts, fin avril. On espère le revoir l’an prochain.

Stéphane Guy

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Le très jeune Gabriel Durliat, à peine 22 ans, fait preuve d’une maturité exceptionnelle. C’est la révélation de la soirée et peut-être du festival

Stéphane Guy

Stéphane Guy